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Posté par AHFIR
le 17/07/2015
AFRIQUE
AFRIQUE
Afrique, o Afrique,que mon sang abrite,
Revoilà tes coquelicots timides
Aux allures de soldats fragiles
Tes oeillets aux milles couleurs humides
Tes femmes aux hanches frivoles
Et aux yeux scintillant de chaleur
Humant le parfum de ta terre balsamique
Ecoutant le son lointain des m'gomi en deuil
Et le chant de guerre des griots du Mali
Afrique!o Afrique que nos sangs abritent
Tes savanes repoussent de nouveau
Sous le vol des cigognes de retour
Sur les toits des cases de glui parfumé au thym
Sous les tilleuls en mal d'attendre
Sous le ciel s'écartelant de bonheur
Sur les restes de ma belle Lucie
Sur les fossiles de milliers de reptiles
Et sur les tombes des vieux sorciers
Afrique! O Afrique que nos bras frêles abritent
Le temps est venu de chanter de nouveau
Le cire-et-or de nos vieux Azmaris
Dans tous les champs ou le mile pousse à peine
Entre le bitume et les murailles de fer
Réveille ta belle sorcière Sira
Elle seule connait le secret
Des alchimies aux goût de tes fleurs
Enlève les haillons qui couvrent ton corps de déesse
Et telle Venus foudroie les regards furtifs
Des voleurs de tes couleurs millénaires
Afrique, o Afrique,que mon sang abrite,
Revoilà tes coquelicots timides
Aux allures de soldats fragiles
Tes oeillets aux milles couleurs humides
Tes femmes aux hanches frivoles
Et aux yeux scintillant de chaleur
Humant le parfum de ta terre balsamique
Ecoutant le son lointain des m'gomi en deuil
Et le chant de guerre des griots du Mali
Afrique!o Afrique que nos sangs abritent
Tes savanes repoussent de nouveau
Sous le vol des cigognes de retour
Sur les toits des cases de glui parfumé au thym
Sous les tilleuls en mal d'attendre
Sous le ciel s'écartelant de bonheur
Sur les restes de ma belle Lucie
Sur les fossiles de milliers de reptiles
Et sur les tombes des vieux sorciers
Afrique! O Afrique que nos bras frêles abritent
Le temps est venu de chanter de nouveau
Le cire-et-or de nos vieux Azmaris
Dans tous les champs ou le mile pousse à peine
Entre le bitume et les murailles de fer
Réveille ta belle sorcière Sira
Elle seule connait le secret
Des alchimies aux goût de tes fleurs
Enlève les haillons qui couvrent ton corps de déesse
Et telle Venus foudroie les regards furtifs
Des voleurs de tes couleurs millénaires
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